Soumis par Michel Lambert le
J’ai déjà raconté que mon père allait chasser le lièvre et la perdrix, dès l’âge de 10 ans, dans les environs de la ferme familiale d’Albanel. C’est son père qui l’avait initié à cette petite chasse et qui lui avait donné la mission de nourrir sa famille pendant qu’il allait bucher dans un camp forestier lointain, avec les autres pères de famille du village.
Soumis par Michel Lambert le
Le céleri est arrivé au Québec avec nos ancêtres français qui le considéraient, avant tout, comme une herbe potagère ou aromatique comme le persil ou le cerfeuil. Chacun en plantait dans son jardin pour parfumer les bouillons, les sauces et les ragouts de toutes sortes.
Soumis par Michel Lambert le
Pendant ma prime enfance, mon père a été trappeur au nord du Lac-Saint-Jean. C’est en forêt qu’il a connu un certain Parent et un certain Robertson qui chassaient dans le même coin et qui lui apprirent les rudiments de la chasse à l’orignal. Robertson était innu.