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Poursuivons les viandes de l’été avec l’agneau !

La majorité franco-québécoise est ambivalente par rapport à l’agneau. Ses racines catholiques donnent une importance majeure à cet animal dont la douceur et la non-violence incarnent le Christ, représentant de Dieu sur notre planète. Ne l’appelle-ton pas l’agneau de Dieu, lors du rituel majeur de la messe ? Ce symbole remonte, en fait, à la très haute antiquité, au Moyen-Orient.

Commençons le chapitre des viandes de l’été avec le veau !

Quand j’étais enfant, on laissait la nature suivre son propre rythme. Le printemps était une saison particulièrement active, à la ferme de mon grand-père Lambert et celle du grand-père de ma mère, menée par mon oncle Alexandre Gaudreault. Après la naissance des veaux et des agneaux, on laissait les mamans aux champs avec leurs petits. Quand j’allais aux petites fraises avec mes oncles ou mes tantes, je les voyais se coltailler pour avoir la mamelle de leur mère ! J’aimerais commencer ce chapitre des viandes estivales avec le veau.

Parlons du roi de nos eaux, le saumon !

Quand j’étais enfant, j’allais me construire des cabanes au bord du Saguenay, autour de la Chute à Caron. J’y voyais régulièrement des pêcheurs y sortir de beaux saumons. Le saumon était alors encore très présent dans le Saguenay. J’obtiendrais d’ailleurs mon premier emploi d’étudiant comme préposé de la Sainte-Marguerite Salmon Club, à Sacré-Cœur, au Bas-Saguenay.

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