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Parlons de notre patrimoine culinaire et de notre santé

Je disais, il y a deux semaines, qu’il était difficile de  faire de la cuisine patrimoniale parce qu’elle entrait en conflit avec plein de dictats qui la trouvent trop salée, trop sucrée, trop grasse, trop protéinée, etc. Les réactions de certains d’entre vous m’amènent à préciser ma pensée et mes inquiétudes.

Comment mieux connaître notre patrimoine culinaire?

Je disais, la semaine dernière, qu’il était difficile de pratiquer la véritable cuisine de nos ancêtres pour toutes sortes de raisons dont j’aimerais vous parler davantage dans les prochaines semaines. Je parlais d’abord de la méconnaissance même de notre culture culinaire, chez nos Québécois contemporains dits de souche.

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