Parlons de notre patrimoine culinaire et de notre santé
Soumis par Michel Lambert le
Je disais, il y a deux semaines, qu’il était difficile de faire de la cuisine patrimoniale parce qu’elle entrait en conflit avec plein de dictats qui la trouvent trop salée, trop sucrée, trop grasse, trop protéinée, etc. Les réactions de certains d’entre vous m’amènent à préciser ma pensée et mes inquiétudes.